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RÉSUMÉ

La Dame aux camélias c'est Marguerite, une jeune femme "entretenue", belle, mais malade. Habituée à échanger ses faveurs contre bijoux, chevaux, ou argent sonnant et trébuchant, elle mène une vie luxueuse dans son hôtel particulier parisien. Mais elle va rencontrer Armand. Et ce sera la passion amoureuse, avec un homme qui n'a pas les moyens de l'entretenir, et ils vont se perdre l'un l'autre dans cet amour destructeur, qui les éloigne de plus en plus de ce qu'ils sont.

La dame aux camélias affiche.jpg

REPRÉSENTATIONS

Théâtre Marigny, du 18 octobre 2000 au 25 janvier 2001

FICHE TECHNIQUE

Auteur: Alexandre Dumas fils

Adaptation: René de Ceccatty

Mise en scène: Alfredo Arias

Assistant à la mise en scène: Emmanuel de Dietrich

Lumières: Jacques Rouveyrollis

Assistante lumières: Marine Ballestra

Ingénieur du son: Dominique Chalhoub

Décors: Roberto Plate

Assistante décors: Caroline Leroux

Ensemblier: Larry Hager

Costumes: Dominique Borg

Coiffures: John Nollet

Maquillages: Stéphane Marais

Musique originale: Arturo Annecchino

Production: Théâtre Marigny-Robert Hossein, Gilbert Coullier Organisation

AVEC

Isabelle Adjani (Marguerite Gautier), Yannis Baraban (Armand Duval), Aurore Clément (Prudence Duvernoy), Marylin Even (Nanine), Didier Flamand (Le père d'Armand Duval), Thibault de Montalembert (Charles Vétheuil), François-Xavier Noah (Rodolphe de Nevers), Nicolas Struve (Gustave Vernon), Anne Suarez (Olympe), Per Tofte (Le Duc de Bassano) et Hélène Billard, Frédéric Kret, Magdalena Rebacz (Violoncellistes)

René de Ceccatty, à propos de l'adaptation:

Isabelle Adjani, décidant d'incarner à son tour Marguerite Gautier, a préféré qu'une nouvelle version théâtrale soit écrite. J'ai adapté non pas la pièce, mais le roman d'Alexandre Dumas fils. Les passions y sont présentes, à nu. L'intimité, l'urgence, la violence s'y expriment avec plus d'immédiateté. Éliminant l'aspect grivois ou moraliste de la pièce, j'ai pensé, ainsi, susciter une émotion à la fois plus vivante et plus réfléchie. Le nombre réduit de personnages, le rythme même de la narration, la construction en vingt tableaux, le choix des moments psychologiques m'ont paru permettre de représenter, de nos jours, cette histoire d'amour donnant lieu, depuis un siècle et demi, à un véritable culte.

Photos © Marianne Rosenstiehl/H & K

Photos © Marianne Rosenstiehl, Agence Enguerand

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